C’est presque impossible à imaginer. Un monde où les gens ne profitent plus de ce merveilleux « passe-temps », ce rapprochement dont l’humain a besoin depuis toujours; la relation sexuelle!
Selon un chercheur, c’est ce qui risque de se produire dans 11 ans seulement! C’est donc le temps de s’offrir quelques parties de jambes en l’air!
David Spiegelhalter et son équipe sont formels : d’ici 2030, nous ne ferons presque plus l’amour. Les résultats de ces fameuses recherches sont presque impossibles à croire! Pourtant, pour ce professeur de la prestigieuse université de Cambridge la raison de cet arrêt du sexe est simple: l’invasion des réseaux sociaux et des séries télévisées vont carrément rendre les humains frigides!
Spiegelhalter a étudié de nombreux couples âgés de 16 à 64 ans afin de vérifier son hypothèse. Il a interrogé ces couples au sujet de la fréquence des rapports sexuels qu’ils entretiennent par mois et le constat est évident.
Selon cette étude, les couples avaient, en 1990, en moyenne 5 rapports sexuels par mois. Mais ce chiffre est passé à 4 dans les années 2000 et à 3 en 2010!
Voilà un constat alarmant qui apporte la preuve que les mœurs ont changé et que les rapprochements sexuels dans un couple deviennent de moins en moins fréquents.
Selon le professeur, la raison de cette baisse de fréquence est l’hyper connectivité de notre époque. En étant de plus en plus penchés sur les téléphones, les tablettes et les écrans, la manière de consommer mais aussi, celle d’entrer en relation avec les gens s’est considérablement transformée. On regarde des histoires d'amour à la télé, en oubliant de prendre soin de la nôtre...
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Ce qui fait qu’on envisage maintenant de se lier à l’autre seulement par l’intermédiaire d’une machine, qui renforce un sentiment d’insécurité et de manque de confiance en soi au profit des images partagées sur les réseaux sociaux.
Voilà un bien triste constat, qui devrait nous alarmer et nous pousser à renverser la tendance.
Ce soir, oublions Netflix et Facebook! Faisons l’amour afin de se souvenir combien c’est agréable et bénéfique pour nous!
C’est de plus, une question de survie de l’espèce!
