La science affirme qu'il y a un âge idéal pour être célibataire
Il ne faut pas se morfondre d'être célibataire. À un moment, c'est même un plus!
Trucs et Bricolages
Le célibat n’est pas négatif. Même que, selon la science, il permet de construire sa vie sur de nouvelles bases saines.
Le célibat n’est pas toujours un choix et notre société ne voit pas toujours cet état d’un bon oeil.
Mais dans les faits, le célibat peut avoir un apport positif dans la construction de notre avenir.
Une étude publiée dans le Journal of Marriage and Family le 17 novembre dernier l’affirme, en tous les cas.
Cette recherche avait pour but d’évalier les effets positifs du célibat sur le développement personnel.
« Plusieurs études ont montré que les jeunes célibataires considèrent le célibat comme une occasion de se concentrer sur leur développement, comme la constitution d’un groupe d’amis, l’investissement dans l’éducation ou dans une carrière et l’apprentissage de la vie par eux-mêmes. De tels investissements pourraient être importants tout au long de la vie » a expliqué récemment Lonneke van den Berg, une des autrices de l’étude, au magazine Psy Post.
La chercheuse a étudié avec sa collègue Ellen Verbakel, les données récoltées par le Panel socio-économique allemand (SOEP) de 1984 à 2019 , qui comprend des informations sur le revenu, le logement, la satisfaction dans la vie et la vie de famille. On a fait appel pour ce faire à 1003 participants, séparés en deux groupes.
Soit:
- Les gens ayant quitté le domicile parental en étant célibataire et en vivant seul dans un premier temps (autour de la vingtaine) ;
- Les gens qui étaient déjà en couple ou se sont mis en couple très rapidement.
Le célibat: idéal à 20 ans
L’étude a relavé plusieurs points positifs chez les gens qui ont été célibataires à 20 ans ou au moins, avant l’âge de 25 ans, par rapport à ceux qui étaient déjà en couple à cet âge.
Chez les hommes, il s’est avéré que la satisfaction de la vie était plus affectée par une séparation chez les participants ayant été rapidement en couple.
Plus les hommes étaient célibataires avant de former un couple, plus les conséquences d’une rupture plus tard dans leur vie étaient faibles.
Chez les femmes, la différence entre ces deux expériences était moindre
Il est apparu que celles ayant été célibataires dans leur vingtaine, ont appris à être plus indépendantes financièrement, plus tôt. Elles auraient poursuivie cette habitude plus tard même en couple. « Chez les femmes, nous avons constaté que les revenus de celles qui avaient déjà été célibataires étaient déjà plus élevés avant la séparation », a expliqué Lonneke van den Berg.
Les scientifiques pensent donc que vivre le célibat pendant la vingtaine serait le aiderait à avoir une vie amoureuses plus épanouie par la suite.
En gros, le célibat à 20 ans serait un outil menant à l’indépendance affective et financière, une première pierre d’une vie épanouie les années suivantes.
Une info à partager aux jeunes qui se morfondent de ne pas avoir trouvé leur âme soeur!
Articles recommandés: