Trucs et Bricolages

Une compagnie québécoise crée un accessoire permettant de ne plus toucher aux poignées de porte

Après s’être lancée dans la création de masques, Bigarade se réinvente encore en période de pandémie.

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En cette période de pandémie de coronavirus, on devient plus conscient de toutes les surfaces que nous touchons et que plein de gens touchent chaque jour avant ou après nous. C’est le cas des poignées de porte, par exemple.

Un geste aussi anodin qu’ouvrir une porte est devenu synonyme de prise de risques…

L’entreprise Bigarade, dont on parle beaucoup actuellement pour sa création de masques en tissus, a ajouté une autre corde à son arc en produisant un outil qui permet d’ouvrir les portes sans devoir toucher aux poignées de celles-ci.

Il s’agit du BigaporteTM, qui s’installe sur toutes portes commerciales, extérieures ou de frigo, avec pentures et poignée fixe.   


source: Facebook - Bigarade

Geneviève Lorange, la fondatrice de l’entreprise, a développé cet accessoire qui se veut une mesure de protection tant pour les clients que les employés(es) et les commerçants.    

«J’ai pensé au Bigaporte suite au retour au travail de notre directrice générale et mon amie Bahia qui souhaitait un environnement sécuritaire en milieu de travail et la poignée de porte était un souci pour elle. J’ai donc usé de créativité et innovation pour une amie pour en arriver avec cet ouvre-porte simple et ingénieux à la fois. Nous avons décidé de le commercialiser afin que toute la population n’ait plus à toucher les poignées de porte de commerce ou en ouvrant un frigo à l’épicerie », a confié madame Lorange à TVA.

L’ouvre-porte BigaporteTM est fait en aluminium québécois et est fabriqué à Beauharnois. Il est offert en 4 couleurs de peinture électrostatique, soit noir, argent, gris et blanc et se vend 29,95$ plus frais de livraison.    


source: Facebook - Bigarade

Environ 10 000 ouvre-porte peuvent être produits hebdomadairement.

Un autre exemple de la débrouillardise et de la capacité d’innovation des entreprises québécoises.

Source: JDM