Vidéo: Pour se faire respecter sur les rues bondées, un homme crée un klaxon pour piétons!

Quand on habite dans une grande ville, on est habitué à un trafic routier important, mais aussi, aux trottoirs bondés, sur lesquels il peut être presque aussi difficile de circuler, et même peut-être plus que dans la rue. En effet, il n’y a pas de code de la route sur les trottoirs…

Il y a des gens qui marchent trop lentement et d’autres qui marchent trop vite, en bousculant les autres. Il y a les trottinettes, les vélos, les distraits, les amoureux qui s’enlacent, les gens qui attendent le bus, les vendeurs… On peut en perdre sa santé mentale, à tenter d’avancer de quelques pâtés de maisons! Mais comment s’imposer, quand on n’est pas au volant? Un homme a peut-être trouvé une solution, tout en humour!

L’artiste Yosef Lerner a conçu un klaxon pour les piétons! Une façon originale de se faire entendre et respecter dans une foule de piétons!

Yosef est un auteur, acteur, réalisateur qui réside à New York. Après avoir conçu son klaxon unique en son genre, il a tourné une vidéo en faisant la démonstration et l’a publiée sur YouTube.

Il s’y est demandé: « Et si les gens étaient des voitures, feraient-ils tout ça ? Non. Alors, arrêtez de le faire quand vous conduisez ” 

Dans le fond, son invention est surtout une manière de critiquer le comportement de certains conducteurs qui peut être excessif, qui klaxonnent inutilement dans les bouchons et contribuant à la pollution sonore.

L’idée a eu beaucoup de succès et l’artiste a mis son unique klaxon en vente sur son site officiel (yoseflerner.com). L’objet a trouvé preneur pour 700$ US. L’heureux acheteur l’utilisera-t-il dans son quotidien de piéton? Ce serait étonnant.

Quoi qu’il en soit, c’est une façon créative de sensibiliser les gens au sujet de leurs comportements et du savoir-vivre en société.

Qu’on se déplace sur un trottoir ou dans une rue de New York, de Paris, de Toronto ou de Hong Kong, le respect des autres est de mise!

Visionnez la vidéo de l'expérience urbaine de Yosef Lerner ici: